365 jours sans internet, le défi de Paul Miller
Paul Miller, l’un des fondateurs de The Verge, un média américain sur l’actualité High-Tech, un pionné dans ce domaine et il a relevé le défi de ne plus utiliser internet pendant 365jours. Téléphone, ordinateur, tablette, tous sont rangés dans la placard. Une expérience qui a le mérite d’être tenté et il l’a fait pour montrer qu’on ne peut pas vivre sans internet de nos jours. Retour au GSM de l’an 2000, aller à la bibliothèque, lire une carte de la route en papier au lieu de prendre Google Maps , faire ces courses au supermarché, écrire une lettre et l’envoyer par la poste, toutes ces choses ou actions qui sont devenus des habitudes et on suppose pouvoir sans passer comme une lettre à la Poste.
Pour comprendre tout ce chamboulement, Mr Paul Miller c’est filmé durant toute cette période, du 30 avril 2012 au 1 mai 2013.
Les premiers mois sont super bien passés, il devient plus attentif aux conversations avec sa soeur et ses amis, lit des bouquins, rend visite à ses parents. Il renoue avec le » monde réel » mais au bout de 6 mois, cela commence à changer et c’est le revers de la médaille. Le reflex d’être devant un écran ou une télévision prend le dessus et les jeux vidéos aussi. En fin de compte, il joue plus en plus et se trouve une nouveau loisir en restant des heures dans son canapé. Mais ce brave challenger continue son défi jusqu’à la fin.
Pour mieux le comprendre dans toute cette démarche, je vous propose de visionner sa vidéo:
Vous en voulez encore, voici son article sur le site The Verge : I’m still here: back online after a year without the internet.
Plusieurs questions me vient à l’esprit après cette expérience. On aime quoi ? Internet et ses services, ses messageries, le partage, les popottes sur FB, l’actualité au bout du monde, la plume de Stéphane Briot tous ceci nous amènent à nous faciliter la vie, beaucoup de questions à vrai dire. Mais si on prend son exemple, on trouve des nouvelles activités: Frisbee… Un peu comme un nouveau célibataire après 5 ans de vie commune, fait ce qu’il a envie et quand il veut ( Célibataire au féminin aussi ) sans rendre de compte à quelqu’un et il se sent libre puis le manque de la gente féminine revient à grand pas.
Pour conclure, profiter de la » vie réel » dans tous les sens c’est bien mais quand on est un passionné fervent d’internet et on bosse avec aux quotidiens on peut se dire qu’on aime en faites la distraction devant un écran de télévision, d’ordinateur ou d’un portable. Nous évoluons avec notre temps.
Thanks you so much sir Paul Miller !